Nous nous intéresserons dans cet atelier à toutes les rencontres avec la mort qui ont jalonnées notre vie en terme de symbole et de transformation, comme par exemple, le fait pour un adulte, d’être mort à l’état d’enfant et d’avoir transformé son monde enfantin en une joie de vivre compatible avec son statut d’adulte.

L’adulte conserve son enfance avec lui dans un état sublimé, maîtrisée et toujours accessible.
Il poursuit ainsi sereinement son évolution, en accord avec lui même, alors que sa situation serait devenue intenable si en tant qu’adulte, il ne s'était pas séparé de l'enfance, il n’était pas mort à elle et en avait gardé tous les codes, tous les comportements et tous les raisonnements.

De rencontres en rencontres, nous en arriverons à évoquer la dernière, celle qui est définitive et reste mystérieuse.
Son évocation est sereine ou neutre pour certains, pendant qu’elle est une source d’angoisse pour d’autres. 
  
Parallèlement à ces visages figuratifs de la mort qui peuvent être vus comme des passages et des métamorphoses au service de l’évolution, nous nous emploierons à les différencier de la morbidité qui, elle, ne favorise rien, ne transforme rien et au contraire se développe en tant que parasite déstructurant du vivant.

Cette morbidité névrotique n’a pas d’autre conséquence que de gâcher la vie de ceux qui deviennent victime de son emprise.

Nous aurons une vision d’autant plus claire de la mort transformatrice et créatrice, au service des cycles naturels que nous l’aurons comparée au morbide qui prend tout sans jamais rien donner et dissout l’être dans le néant.    

 

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